La marraine
Raymonde
PATER TORIN

Le nom de Raymonde PATER TORIN est intimement lié à la danse et au GwoKa en particulier !

« Femme active, aimant la Guadeloupe et qui veut participer au bien être culturel, artistique des gens de son pays » ainsi se décrit-elle.

Celle qui est devenue incontournable dans la sphère culturelle et artistique en Guadeloupe, est non seulement professeur d’EPS et de danse, est également danseuse chorégraphe, interprète.

Notre marraine 2020 est une passeuse de tradition, et ce à travers plusieurs pays du monde qu’elle continue à parcourir. Partager avec l’autre sa culture est son leitmotiv.

C’est une pédagogue avertie, une experte, qui excelle dans la transmission des savoirs, des savoirs-faire et des savoirs être, de la wond à léwòz à la scène artistique, de lékòl du Lakou à l’école de la République.

Fondatrice de l’association « Fôs Kiltirèl Kamodjaka », après avoir passé le témoin, elle se consacre depuis 2018 à la création artistique avec sa nouvelle structure PATORAY. Elle invite les uns et les autres à interroger leur quotidien encore plus singulièrement, tout en s’appuyant sur des Corps-Ka traditionnels et contemporains.

Parmi les nombreuses créations à son actif avec l’Akademiduka, kamadjaka, certaines ont marqué les esprits comme : « Kokèlèz » (2005), « Saloptaj » (2007), « Badlasous » (2008), « Bay koko pou savon » (2010). Avec la Cie Koklaya : « Chatengn » (2011), « Diouma Lafrik ka kriyé mwen» (2017).

Raymonde PATER TORIN intervient tant en milieu scolaire qu’en milieu associatif et professionnel. Ses interventions, (cours, stage, conférence) en Guadeloupe mais également dans la Caraïbe, en Europe et aux USA, rencontrent un vif succès. Elle est personne ressource en danse, pour les Académies de Guadeloupe, Martinique, Guyane et membre du comité des experts pour la DAC de Guadeloupe.

Sa présence au coeur du festival cette année questionne les enjeux de la création depuis la Guadeloupe et au delà…